Ce travail s’articule autour de la trace et se construit sur la mémoire.
Dans les dessins à l’encre de chine, je cherche à mettre en évidence l’énergie du geste, alors que les peintures à la tempera sont les conséquences des nombreuses étapes indispensables à leur fabrication.
Ce que je donne à voir est indissociable des processus autant que des mou- vements ; et les pièces terminées, en s’inscrivant comme témoignages de mes actes et de leurs développements, interrogent à la foi le statut de l’objet et celui de la représentation. JS