Des bulles, de la gaieté, des froufrous et de la musique aux couleurs pastelles ou acidulées, l’Ensemble Tiffany va faire pétiller la fin de l’année.

Porté par l’Ensemble Tiffany, le concert du Nouvel-An va rappeler les années folles, un temps où la musique légère égayait les salons, soulevaient les jupes tourbillonnantes des filles et faisaient miroiter les souliers vernis des garçons.

Valses de Strauss et de Waldteufel, pots-pourris d’opéras de Verdi ou d’opérettes d’Offenbach, Lanner ou Lehar, le violoniste Friedemann Sarnau réunit une quinzaine de musiciens romands pour reconstituer le répertoire grisant, agrémenté d’un zeste de nostalgie de la folle époque, avec en soliste la chanteuse Anne Baquet. L’Ensemble Tiffany puise dans une bibliothèque privée de 1500 pièces couvrant les années 20 à 30, véritable trésor culturel de l’entre-deux-guerres. Alliant raffinement, joie et élégance, l’esprit de l’Ensemble Tiffany rappelle les grandes heures d’une époque où tout semblait permis.