« Jamais plus joli métier ne fut dans le monde que celui de cheval, que celui de chevalier de la Table Ronde ! ». Si vous aimez des chevaliers déjantés, plus en quête d’amour que de Graal, des enchanteurs branquignolesques, Merlin et Mélusine, plus préoccupés par leurs affaires que par la magie ancestrale, le tout emporté par une musique virevoltante, pétillante, joyeuse d’un « compositeur toqué », rival d’Offenbach, considéré par Raymond Queneau comme le premier surréaliste… alors rendez-vous avec Hervé et ses Chevaliers de la Table ronde !