En montant l’une à la suite de l’autre la première pièce de Jean-Luc Lagarce et la dernière de Boris Vian, Gian Manuel Rau propose une variation absurde, cruelle et non dénuée d’humour qui fait écho à nos propres questionnements sur la notion d’engagement dans un monde troublé.
Dans les deux univers, on vit à huis clos, on parle, on raconte, on craint, on s’accroche à la réalité tout en côtoyant l’absurde. A tout moment, on retrouve un «schmürz » devant ses pieds comme un vieux chien fidèle. Et on attend que l’inéluctable vienne frapper à notre porte…